Rendez-Vous dans la Clairière » Edward

Une petite silhouette, fine et agile, sauta gracieusement du haut d'un arbre. Une autre la suivit de près, beaucoup plus grande et athlétique. Alice sourit quand Jasper lui prit la main et posa un baiser sur sa joue. Celui-ci sourit et s'éclipsa vers la forêt. Il tenait à aller chasser et Alice avait fait promettre à Edward de le retrouver dans la clairière qui servait à la famille Cullen de terrain de BaseBall pour lui demander quelque chose. Elle s'était efforcée de ne pas penser à ce qu'elle allait lui demander de la journée pour qu'Edward ne puisse deviner mais elle avait de plus en plus de mal. En effet, c'était une demande importante puisque nous étions au début du mois de Juin et que la fin des cours approchait à grands pas, synonyme de la remise des diplomes pour dward et Bella.

Avec un petit soupir, elle chercha Jasper des yeux mais celui-ci était déjà trop loin. Elle aurait voulu l'accompagner en chasse mais il était plus important de demander cette fameuse permission à Edward. Elle était certaine que vis-à-vis de Bella, il tenterait d'abord de refuser, mais elle était sure de finir par se le mettre dans la poche. Après tout, il ne pouvait pas lui refuser une chose pareille alors qu'elle lui avait sauvé la vie l'an passé. En effet, Edward, croyant que Bella avait tenté de se suicider durant sa longue absence, avait lui même fait une tentative de suicide en se rendant auprès des Volturi. Les Volturi étaient les vampires ancestraux qui régissaient le monde des vampires. Pour leur déplaire, il suffisait d'enfreindre la règle, à savoir, s'exposer aux humains. Et Edward, qui avait décider de leur déplaire pour qu'ils le tuent à son tour, avait tenté de s'exposer au soleil devant un rassemblement de passant à Volterra, en Italie, la ville des Volturi. Fort heureusement, Alice avait eu cette vision et avait accouru avec Bella jusqu'en Italie pour que Bella lui prouve qu'elle était bien en vie. Ainsi, Alice avait sauvé la vie de son frère avec l'aide de sa petite amie et elle estimait qu'Edward lui était redevable.

De sa démarche de danseuse gracieuse, elle se mit en chemin pour la clairière. Il était environ cinq heures de l'après-midi et Alice comptait rencontrer son frère avant que celui n'aille retrouver Bella comme chaque nuit depuis maintenant près de deux ans. Il allait accepter et Alice allait pouvoir faire ce qu'elle voulait. Ne pouvant plus résister, quand elle entra dans la clairière, elle se mit à penser à ce qu'elle allait demander : Elle allait demander à Edward le droit d'organiser une fête pour fêter la fin du Lycée. Hors, Bella détestait les fêtes plus que tout, elle l'avait démontré avec le bal de fin d'année l'an passé. Mais Alice voulait à tout prix marquer la fin du Lycée et l'obtension de leurs diplomes. D'ailleurs, Edward finirait sans doute par accepter, car lui aussi aimait faire la fête, moins qu'Alice certes, mais il adorait ça ! Essayant de ne plus y penser, elle remarqua qu'il était trop tard. Edward se dressait sur le rocher, à la lisière de la forêt et la regardait, l'air pensif. Il avait du lire dans ses pensées et devait déjà savoir ce qu'elle s'appraîtait à lui demander. Elle sauta d'un bon agile en haut du rocher et se retrouva près de lui. Elle lui offrit un sourire éclatant et lança de sa voix de carillon :

« Salut Edward ! Si je t'ai donné rendez-vous tu te doutes que j'ai quelque chose d'important à te demander et... »



Depuis quelques temps, Edward éprouvait de nouvelles sensation. Depuis toujours, il prenait son temps car il savait très bien que rien ne pressait pour lui puisqu’il était éternel. Mais depuis deux mois environ, il avait l’impression que les choses lui échapper. Dans quelques mois allait avoir lieu la remise des diplômes. Pour Edward, c’était un diplôme de plus qu’il allait recevoir. A cette époque de l’années tous les élèves normaux stresser pour la remise des diplôme se qui était normal. Edward lui s’inquiéter du temps qu’il lui rester avec Bella. Bien sur, ils allaient avoir leurs diplôme ensemble et ils iraient certainement ensemble au bal de fin de lycée, mais Edward avait peur. Depuis quelques temps déjà, Bella insistait pour que Edward la mort pour que le temps n’est plus d’effet sur elle et pour qu’ils puissent vivre leurs amour éternellement. Edward avait peur que, si pendant qu’il la mordait, il ne puisse s’arrêter de boire son sang. Se qui serait bien évidemment fatal pour Bella.

La veille, Alice avait donné rendez vous a Edward dans la clairière ou il avait l’habitude de passer beaucoup de temps, pour lui parler d’une chose importante. Edward avait tous de suite su de quoi Alice voulait s’entretenir mais il avait tout de même dit qu’il serrait au rendez vous. C’est un peut après manger que Edward c’était rendu calmement a la clairière pour pouvoir réfléchir a se qu’il allait dire a sa sœur. L’idée de faire une fête n’avait rien de stupide mais le fait que Bella déteste les fêtes était véritablement un problème. Mais Edward, en plus du sujet sur la fêtes, voulait parler d’une autre chose avec sa sœur. Le fait est qu’il avait de plus en plus envie d’accéder a la requête de Bella et de la mordre. Mais il fallait tous d’abord qu’il en parle avec quelqu’un avant de prendre la grande décision.

Il avait d’abord pensé a Carlisle mais il c’était finalement décider a en parler avec sa sœur avec qui il s’entendait a merveille. Il s’assit donc sur le rocher ou l’on pouvait avoir la plus belle vue sur l’étendu de la forêt. Il réfléchis un bon moment sur le fait que lui même n’est pas tellement envie que Bella vive comme lui. Mais le fait de devoir la quitter lui était insupportable donc il était en quelques sorte obliger de la mordre. C’est au alentour de quinze heures trente que Alice arriva. Elle se posait des questions sur beaucoup de chose et c’est cela qui signala a Edward que sa sœur était arriver. Elle vient se plaçait a côtés de lui et lui parla. Edward tourna la tête vers sa sœur et dit en lui adressant un sourire :

_Alice, tu n’a jamais vraiment su me cachait tes intentions. Je sais que tu souhaite faire une fête pour célébrer les diplômes et je trouve que c’est une très bonne idée.

Il tourna a nouveau sa tête vers l’horizon et dit :

_Mais tu sais que sa va être difficile d’y amener Bella.



Si Alice n'avait pas vécu des années avec Edward, elle aurait haussé les sourcils et ouvert grands la bouche devant ce qu'il venait de dire, mais là, au contraire, elle poussa un petit soupir bougon. Il était frustrant de ne rien pouvoir cacher, ou presque, à son frère. Lui était frustré de ne pas lire les pensées de sa douce ? A la bonne heure, cette fois, c'est Alice qui était frustrée qu'il lise les siennes. Elle croisa les bras et tomba assise, avant de retrouver son sourire. Elle était heureuse qu'Edward se soit laissé convaincre aussi facilement. Ainsi, elle n'aurait pas a user de stratagèmes déplaisants pour qu'il accepte. Bien sur, elle avait, deux jours plutôt, eu une vision qui lui indiquait qu'Edward accepterait puisque dans cette vision, il y avait une fête où tous se trouvaient. Mais Alice n'avait pas été en mesure de dire en combien de temps Edward accepterait.

« Je suis contente que tu te laisses convaincre aussi facilement. Bien sur, j'avais vu que la fête aurait bien lieu, mais je ne savais pas combien de temps ou de jours je mettrai à te convaincre de l'organiser ! » S'exclama t-elle, enjouée. « Et tu as raison, y entrainer Bella va être une vraie corvée. Je crains de devoir recourir à la force, » ajouta t-elle en riant.

Elle posa alors ses mains sur ses tempes et ferma les yeux, se concentrant au maximum. La jeune femme essaya alors d'entrevoir le moment où Bella accepterait, ou non, de venir à la fête donnée par Alice mais rien ne vaint. Elle se concentra au maximum, s'énervant de ne capter que du noir et finit par abandonner la partie au bout de quelques minutes. En effet, même si Edward avait compris ce qu'elle essayait de faire rien qu'en la regardant, il n'était pas très poli de sa part de se couper à toute communication comme ça. Elle ouvrit donc de nouveau les yeux et, encore plus frustrée par son impuissance à lire l'avenir proche de Bella sur ce coup, elle marmona dans sa barbe :

« C'est à croire qu'un loup garou se trouvera à proximité quand je lui demanderai de venir car je ne vois rien d'autre que du rien ! (Dans le livre, il est expliqué qu'Alice ne peut pas lire l'avenir lorsqu'un Loup Garou est a proximité de la scène à deviner) Il va falloir que tu trouves le moyen de la convaincre toi ! La fête n'aura pas de sens sans elle ! Nous encore, on a plus besion de fêter nos diplomes, mais elle, elle c'est son premier ! » Se lamenta t-elle avant de changer d'expression : « D'ailleurs ! Ce sera son premier et son dernier ? Ou tu comptes y remédier ? Tu sais, elle a vraiment l'air de vouloir devenir comme nous ! » Ajouta Alice en posant ses yeux malicieux mais graves sur son frère.

Elle savait que l'idée de transformer Bella en immortel le rendait malade quand il pensait aux inconvéniants. Du moins, des inconvéniants pour lui, car Bella avait l'air de trouver que tout ce que les vampires vivaient était tout simplement fabuleux. Cependant, elle se doutait qu'Edward ne supporterait pas mieux non plus de passer sa vie au coté d'une femme malheureuse car la vieillesse la guête chaque matin et même chaque seconde.

Visiblement, le sujet qu'elle venait d'aborder rendait son frère nerveux. Elle savait que c'était un sujet délicat à aborder avec son frère mais elle ne voulait pas lui faire de peine. Il semblait horripilé par le fait que sa moitié puisse devenir comme eux, à ressentir le besoin de boire du sang. Il était vrai que pour Bella, devenir vampire semblait la plus belle chose qu'elle pourrait faire. Mais uniquement parce qu'elle ne voulait voir que les bons cotés de la chose : supers pouvoirs, forces, rapidité, plus besoin de dormir, de faire ses besoins, de manger, comme tout être humain (des pertes de temps aux yeux d'Alice). Il était aussi vrai qu'elle semblait se ficher complètement du fait qu'elle deviendrait une créature assoifée de sang bien trop souvent, dangereuse pour les humains lorsqu'elle n'aurait pas été rassasiée... Bref, Bella minimisait trop la chose. Le problème, c'est que de l'autre coté, Edward s'en faisait beaucoup beaucoup trop. Bien sur, Alice comprenait qu'il ait des réticenses mais :

« Je sais ce que tu penses Edward. Seulement, si Bella a tendance à ne voir que le bon coté des choses, toi, tu t'en fais sans doute trop. Bella n'est pas stupide et tu le sais aussi bien que moi. Je pense qu'elle a conscience du sacrifice que cela représente et je sais qu'elle a moins peur d'avoir à se nourrir de sang que d'avoir à quitter à jamais sa famille par exemple. Alors dis toi qu'elle sait un peu ce qu'elle fait, » lui expliqua doucement le petit lutin. « De toute façon, la décision te reviens et à toi seul ! Mais Bella semble déterminée et il serait dangereux qu'elle essaye de se transformer par le biai de quelqu'un d'autre que toi ! »

Alice vit alors les larmes embuer les yeux de son frère et elle posa sa main de glace sur l'avant bras de son frère, effectuant une petite pression réconfortante. Il lui déclarait être bien trop amoureux de sa belle pour lui infliger pareille horreur et, en un sens, Alice comprenait aisément qu'il puisse s'en faire autant pour elle. Mais il avait déjà montré par le passé qu'il était capable d'arrêter au bon moment sans la vider de son sang, ce qui lui serait alors fatal. Ce n'était donc pas le manque de confiance en lui mais l'amour qui l'empêchait de commettre cet acte.

« Je crois que Carlisle n'est pas contre le fait que tu la mordes mais je sais aussi qu'il écoutera ce que tu as envie de dire et ce que tu ressens. Si tu ne peux te résoudre à lui infliger cela, libre à toi, penses aussi à Bella. Rediscutez-en si ça ne va vraiment pas ou impose lui ton choix définitivement ! Il ne faut pas que vous soyer blesser pour ça. Tu connais ses motivations, elle connait les tiennes, pesez donc le pour et le contre. »

Elle lui adressa un sourire tendre et se releva ensuite, s'étirant à la manière des humains pour détendre ses jambes et ses bras. Alice lui adressa un clin d'oeil et l'interrogea du regard. S'il voulait encore en discuter, il était évident qu'elle l'écouterait, mais s'il voulait passer à autre chose, la jeune femme était tout à fait d'accord !

Il était vrai que Carlisle avait toujours eu raison de ne mordre ses victimes en dernier ressort uniquement. Bon, cela n'avait pas été la meilleure chose à faire avec Rosalie peut-être, mais pour tous les autres, cela avait très bien marché. Cependant, dans le cas de Carlisle, l'immortel pouvait regretter car il n'avait rien demandé. En revanche, là c'est bien Bella, à savoir la future « victime » si on peut dire, qui le désirait. Et quant à ne pas savoir s'arrêter, Alice sourit de nouveau doucement.

« Tu y es déjà parvenu ! Tu l'as sauvé ! Et tu sais pourquoi ? Parce que tu l'aimes ! Bella est ta moitié, ton âme soeur ! Je le sais, je le sais Edward combien tu l'aimes ! Et même si je ne peux pas lire dans ses pensées et encore moins dans les siennes, je peux quand même t'affirmer qu'elle t'aime autant que toi, peut être même plus. Edward, elle t'admire. Ne te pose pas de question sur le fait de pouvoir s'arrêter, tu le pourras. J'ai vu Bella transformée, lors de sa première année à Forks, tu te rappelles ? Elle le veut toujours ! La question n'est pas de savoir si tu pourras t'arrêter mais si tu en as envie... » expliqua t-elle. « La question est de savoir si tu veux passer l'éternité avec cette femme, ou seulement le temps de sa vie d'humaine... La dernière décision ne revient qu'à vous. »

Alice lui adressa un de ses clins d'oeil malicieux et sauta au pied du rocher. Si elle avait alors été humaine, elle aurait chancelé, mais en temps que vampire elle resta bien droite. Pourtant, elle venait de se figer, elle avait une absence. Elle était dans un autre monde. Elle voyait quelque chose d'étrange, vraiment très étrange. Quatre adolescents, de leur âges à peu près, débarquant au Lycée de Forks, un jour de pluie très dense. Tous extrêmement beau, dont un encore plus que les autres - le noir. Sa vision se brouilla et l'instant d'après elle secoua la tête, elle était de nouveau sur le terrain de Baseball, Edward intrigué à coté de lui. Il avait bien sur vu sa vision en lisant ses pensées juste après et Alice arqua un sourcil.

« Tu crois que c'est qui ? » s'enquit Alice. « Il n'y a pas eu de nouveaux depuis Bella. Et puis, ces nouveaux arriveraient en fin d'année ? »

Ses yeux devinrent tout ronds. Elle était désolée de changer de sujet, elle était sure qu'Edward le percevait. Mais ce qu'elle venait de voir l'intriguer au plus au point. Ces quatre garçons étaient anormalement beaux. Mais ce ne pouvait être des vampires, pas ici, à Forks, sans qu'ils le sachent ? Carlisle connaissait tous les vampires végétariens du monde et la plus grande partie des autres vampires. Et ceux qu'il ne connaissait pas, il en avait entendu parler. Non, ça ne pouvait pas être des vampires !

Alice frissonna. Elle détestait les ennuis. Enfin, non, c'était faux. Elle aimait plutot avoir de petits ennuis, ce qui pimentait particulièrement son éternelle vie mais elle détestait le genre d'ennuis dont Edward faisait allusion. Cela, ils s'accrochaient à vous et ne vous lâchaient pas et surtout, ils faisaient parfois du mal à vos proches. Et ça, Alice ne le supporterait pas ! Elle grimaça et se tourna vers lui, essayant d'éclaircir ce qu'elle venait de voir.

« Je suis d'accord ! D'ailleurs il faudra en parler à Carlisle et Esmée en rentrant. Il faut à tout prix que l'on sache ce qu'ils font et qui ils sont. Maintenant que je les ai vu une fois, il me sera plutôt facile de les revoir... » Songea t-elle.

Mais quelque chose l'inquiétait. Et quand quelque chose inquiétait Alice, on pouvait lui faire confiance pour ne pas prendre ses inquiétudes à la légère. Mal à l'aise, elle ajouta à l'adresse de son frère :

« Je... Edward... Je les ai parfaitement vu. Je veux dire, la vision était nette, absolument pas brouillée... »

Elle n'eut pas besoin de s'exprimer à voix haute plus longtemps, Edward avait lu dans ses pensées. Lorsqu'Alice avait une vision très confuse voire illisible, il s'agissait de Loup Garous ou autres créatures, celles qui n'appartenaient pas à la même espèce. Lorsque la vision manquait de détail mais était lisible, il s'agissait d'humain, elle l'avait elle même été. Mais lorsque la vision était parfaite et comportait autant de détails...

« Des vampires... » murmura t-elle à voix si basse qu'un humain ne l'aurait pas entendu.

Et si l'on pouvait se fier à Alice dans la mageure partie des cas, il était stupide de ne pas se fier à Edward. Celui-ci avait très souvent des intuitions exactes et s'il pressentait que cela n'annonçait rien de bon, Alice pensait la même chose. Peut être étaient-ils gentils, calmes... mais ils n'étaient surement pas de passage étant donné qu'elle les avait tous les quatre dans le lycée. Elle ferma les yeux une fraction de seconde pour mieux se concentrer sur tout cela. En résumé, la meute de loup garous Quileute, le couple Bella - Edward et les Volturi qui s'acharnaient sur les Cullen ne semblaient pas être une dose suffisament grande d'ennuis pour la famille qui ne demandait jamais rien et qui était si bonne et généreuse. Toujours les mêmes comme on dit. Bien sur, Alice n'avait jamais regretté, ne regrettait pas et ne regretterait jamais de s'être joint avec Jasper aux Cullen ! Mais elle devait avouer que depuis qu'elle vivait avec eux, elle avait eu plus d'ennuis qu'elle n'avait pu en avoir de toute sa vie d'humaine et de sa vie de vampire pré-Cullen. Et voila que ces quatre beaux garçons (trop beaux pour être humain, maintenant qu'elle y pensait) se pointaient et risquaient de venir encore plus semer le trouble dans cette vie déjà si tourmentée ! Bon dieu, comment pouvait-on attirer autant les ennuis ? Alice en venait à se dire qu'Edward avait raison : finalement, les vampires n'étaient jamais laissé en paix une fois transformés. Encore une fois, elle n'irait pas s'en plaindre : une éternité aux cotés de Jasper et de sa famille adoptive ; qui aurait pu rêver mieux ? Personne, vraiment.

« Tu avais raison ! Bella est un aimant à problèmes ! Je suis sure qu'ils auront un rapport avec elle ou avec quelque chose qui a déjà un rapport avec elle ! Quelle veine ! » S'exclama t-elle pour essayer de détendre l'atmosphère. « C'est Rose qui va se faire une joie de la blâmer encore une fois ! » Soupira t-elle, exaspérée.